« Si je dois mourir, tu dois vivre pour raconter mon histoire »
Fadwa Touqan, une poétesse de la Palestine –
Il est difficile par ces temps sombres d’écrire sur la poésie palestinienne. Comment en effet, face aux actes de génocide qui se déroulent sous nos yeux, continuer encore à parler de la poésie et des poètes palestiniens. Aucun autre colonialisme, car c’est de cela qu’il s’agit, n’a été aussi loin dans la barbarie que le colonialisme sioniste. Mais les poètes sont une espèce d’hommes et de femmes qui incarnent mieux que quiconque les souffrances collectives et la résistance à toutes les formes d’injustice. Ils sont les témoins éloquents à la fois de la tragédie et du combat de leur peuple. Il est peut-être plus utile encore d’évoquer dans ces moments tragiques les poètes palestiniens dont toute l’œuvre se confond avec cette terre volée et « violée » de la Palestine.
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