L’enjeu était de démontrer aussi qu’en zone rurale il existait une résistance au projet de réforme des retraites. De la place de la Victoire – tout un symbole ! – à la préfecture, on a compté 350/400 personnes (270 selon la gendarmerie ! ) derrière les syndicats cgt (énergie, la poste, éducation,…), cfdt, lycéens et beaucoup de simples citoyens.
En fin de cortège, la LFI a distribué le tract de la NUPES appelant aux réunions publiques (cliquez ici).
Didier Mehl