Ce lundi 14 mai 2018 au matin avait lieu la « journée sans cheminot-es »

Conférence de presse unitaire devant les caméras de France 3 tenue par.. un salarié

Une grande banderole sur la façade sur les « réformes Macron » rappelait cette évidence que tou-tes les salarié-es ont un intérêt à ce que les cheminot-es gagnent

Dans la gare, on peut dire que ce n’était pas la foule, que la grève était très suivie, ce qui désole à longueur d’antenne bon nombre de journalistes parisiens des grands médias pour qui les salarié-es et les gens d’en bas ont toujours raison … de se résigner.

Vérité horrible pour les grands de ce monde : ce sont les salarié-es

qui font tourner la boîte.

Le matin même OXFAM dénonce un partage des profits du CAC40 devenu très défavorable aux salarié-es.

La lutte de classes n’existe pas, n’est-ce pas ?

Ce silence et ce vide dans la gare fait beaucoup de bruit,  beaucoup plus que la machine à explosions (ci-dessous) qui égaye habituellement les manifestations

Pas un chat, même à l’information !

Tiens, un bouquet ?

Eh oui !

Pendant la dernière guerre mondiale les résistant-es étaient en nombre chez les cheminot-es  tandis que le grand patronat dans son immense majorité s’enrichissait dans la collaboration avec le régime de Pétain et l’occupant nazi.

Une leçon à en retenir ?

Rédaction

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