Comme tous les samedis depuis maintenant plus de 3 ans et demi, nous poursuivons notre petit combat non pas contre un aspect de la politique mais contre toute la politique de Macron et de la classe qui l’a hissé pour la deuxième fois consécutive à la tête de l’Etat. Car la situation économique et sociale des classes populaires depuis le 17 novembre 2018, date de ce formidable soulèvement, s’est nettement dégradée.
Tous les ingrédients pour un nouveau soulèvement, différent de celui des Gilets jaunes (l’histoire ne se répète jamais à l’identique), sont là. Il ne manque que l’étincelle pour enflammer à nouveau la révolte populaire.
En attendant, nous continuons à porter ce bout de tissu jaune insignifiant mais qui reste le symbole d’une contestation contre toutes les formes d’injustice et contre la misère sociale organisée par la classe au pouvoir dont Macron n’est qu’un zélé serviteur.
Gilets jaunes rond-point Poitiers sud