Ne parlons pas de ferme, pas plus que de « ferme-usine » mais plutôt d’usine d’engraissement. Ce sont les termes utilisés par l’association ASPECT : il ne s’agit plus de parler de « ferme » quand de jeunes animaux passent du pré (pendant 8 mois) à l’enfermement dans des boxes, nourris aux granulés et à la paille avant d’être abattus 9 à 10 mois plus tard. L’élevage industriel se porte bien, les animaux beaucoup moins : le « bien-être animal » n’a jamais été aussi mal traité…
Entretien avec Dominique Brunet (ASPECT) et François Bigot (Collectif des opposants) et quelques photos du site dans son état actuel. Seuls 200 animaux sont sur place, il doit en arriver encore près d’un millier… une ferme ça ?
Dans une seconde partie de l’entretien, D. Brunet et F. Bigot reviendront sur la mobilisation qui va se poursuivre et les actions qui sont déjà dans les tuyaux… A suivre !
D. Leblanc
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1. Surpris par le démarrage de l’usine ?
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2. Des recours en perspective ? Le permis de construire ? Et la méthanisation ?
Les premiers animaux sont arrivés de Paray Le Monial en camions, escortés par la gendarmerie. Bientôt des barbelés et des clôtures électrifiées ?
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Le permis de construire pour engraissement de taurillons, méthanisation et compostage à Coussay-les-Bois. Etat des lieux…