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L’eau est un « bien commun », ça ne fait de doute pour personne : tout au moins parmi les personnes qui étaient présentes samedi 22 février à Gençay. Chez ceux des « politiques », à la remorque d’une poignée d’irrigants enfermés dans leur vision d’une agriculture ultra-mécanisée et souvent tournée vers La Pallice, c’est moins le cas ! Samedi 22 février, plusieurs centaines de personnes étaient présentes pour une journée d’information, de débats, d’animations et d’ateliers autour de la gestion de l’eau. « Juju, le ver de terre » était aussi présent pour défendre le sol, un sol vivant, pas gavé d’intrants et autre substance chimique.
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Car du monde, il y en a eu pour les tables-rondes du matin et de l’après-midi, pour le repas paysan préparé avec des produits locaux, pour les ateliers et les activités offertes aux – nombreux – enfants. La salle des fêtes de Gençay était très bien garnie et les habitant.es du sud-Vienne bien présent.es. Ce qui démontre une fois encore, après La Villedieu du Clain ou Champagné Saint Hilaire que ce travail d’information de proximité est essentiel. Une information qui manque cruellement et qu’une grande partie des élus locaux ne proposent pas à la population. Auraient-ils peur que « leurs administré.es » prennent la mesure de l’importance de « gérer l’eau » avec responsabilité et le recul nécessaire ?
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L’article de presse dont il est question dans l’enregistrement est celui de la Nouvelle République du 22 février (page 3) titrant « Les bassines toujours au menu » ,… toujours au menu, mais on ne sait pas si le menu est réellement disponible ! Comme le relève Stéphane dans notre entretien ; coup de pression ? Ou dernier avis avant enterrement (!) comme semble l’annoncer l’encadré « Bassines : du plomb dans l’aile ? » au bas de la même page.
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Merci à Stéphane et Robert pour leurs interventions à notre micro. (avec canard et vent « en arrière-fond » …)
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D. Leblanc
