Un article du poitevin M. Bellali
« Les violences policières sont d’abord et avant tout l’expression de la violence qui règne dans la société fondée sur la lutte des classes. Derrière la police il y a l’Etat et derrière l’Etat il y a le capital.
La violence policière n’est qu’un moyen d’asservissement et de domination de classe. La violence, la brutalité, le racisme, la xénophobie etc. font partie intégrante du fonctionnement de la société bourgeoise. L’oppression dans le capitalisme est multidimensionnelle. Les violences policières exercées sur les travailleurs immigrés, leurs enfants et leurs petits enfants, sur les Gilets jaunes et sur le mouvement social dans sa globalité s’inscrivent dans cette logique du maintien de l’ordre politique établi. Par cette violence et cette haine des classes populaires, la bourgeoisie tente de faire tourner la roue de l’histoire en arrière. Dans ce sens, elle est réactionnaire. (lire la suite)