Chez les éditions poitevines FLBLB. En 1968, Tezuka imagine une destruction concertée du monde, qui commencerait par l’argent et la morale.
Traduit du japonais par Jacques Lalloz et Patrick Honnoré
— Tu devrais essayer de voir plus grand !
— Oh, mais je vois très grand… Moi, mon rêve, c’est d’avaler la Terre entière…
— Ça ne t’intéresserait pas de rencontrer la plus belle femme du monde plutôt ?
— Les femmes, ça ne me dit rien…
— Elle s’appelle Zéphyrus et loge à l’hôtel Ômura. Tu vas te débrouiller pour faire sa connaissance… Pour ça, tu recevras trois cent mille yens à une condition toutefois : découvrir qui elle est en réalité.
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