Alors que l’organisation de la famine à Gaza se double d’un chaos prévisible dans la distribution de « l’aide humanitaire », sous la continuité des bombardements,
alors que face au corps émaciés les dirigeants occidentaux tiennent des discours sévères mais ne font toujours rien pour empêcher ces horreurs,
c’est à nous, peuple des Nations unies, qu’il appartient d’agir.
Le rassemblement de la semaine dernière était nettement plus important mais c’est toujours insuffisant. Faisons-le grandir !

