Après Sarkozy et Hollande, voilà donc Macron, le nouveau serviteur des riches. « Macron, c’est moi en mieux » disait Sarkozy (1). Ce qui caractérise ces trois présidents c’est leur soumission absolue aux puissants et leur mépris profond pour le peuple. La guerre ouverte et sans répit que mène aujourd’hui Macron, comme hier Sarkozy et Hollande, contre l’immense majorité de la population a au moins le mérite de démystifier l’État républicain, la démocratie, la liberté de la presse, la séparation des pouvoirs, les droits de l’homme et bien d’autres concepts de l’idéologie bourgeoise dont la fonction principale est de masquer la violence des rapports sociaux de domination. Après quelques mois seulement du «macronisme», le masque tombe et le visage hideux de la classe dirigeante apparaît alors au grand jour.
Macron « le petit » et la révolte des « sans dents et des gens qui ne sont rien »
Un article du blog de M. Belaali