Rassemblement et manifestation dynamique, animée par de nombreux jeunes présents dans le cortège poitevin cet après-midi du 12 mars. Environ 500 personnes dans les rues piétonnes de Poitiers, entraînées par un groupe de percussionnistes.
Un rappel, un mois avant le premier tour des présidentielles, qu’on peut toujours casser le thermomètre pour oublier la fièvre mais l’urgence sociale et climatique demeure. Nous étions là pour le rappeler à l’ensemble des candidat.es et au « premier » d’entre eux, le champion de l’inaction climatique dont il n’est pas utile de rappeler le nom. D’ailleurs, interpelés sur le marché Notre-Dame samedi matin, les jeunes macronistes n’avaient pas grand-chose à dire et ils n’étaient pas là, bien sûr samedi après-midi !
Comme lors du 8 mars, l’Ukraine était aussi sur les pancartes des manifestant.es, une guerre qui affecte largement l’atmosphère du moment mais derrière laquelle Macron ne peut pas, ne doit pas se cacher pour éviter le débat : on n’attendra pas 5 ans de plus !
Une prise de paroles au nom du collectif d’organisations a été faite par Ecophilia et Extinction Rébellion devant la mairie de Poitiers, intervention que vous trouverez ci-dessous. Deux autres temps forts ont rythmé l’après-midi avec une « manif morte » (un « die in ») devant l’ancien palais de justice et sur le parvis de la mairie.
Demain, après-demain et les jours suivants ? On continue !
Cliquez sur la photo ci-dessous pour lire la prise de parole d’Ecophilia et Extinction Rébellion (XR)