Un article du poitevin M. Belaali
« Le 17 décembre 2010, Bouazzizi, un jeune marchand ambulant, s’immola par le feu allumant ainsi l’étincelle qui allait enflammer tout le monde arabe. Du Maroc à Bahreïn, les peuples se sont soulevés contre leurs tyrans qui, trop longtemps, les maintenaient dans la misère et l’asservissement. «Erhal», «dégage», «le peuple veut renverser le régime» clamaient d’une seule et même voix les manifestants. Deux dictateurs sont tombés, le tunisien Ben Ali et l’égyptien Moubarak. Le troisième, le yéménite Ali Abdallah Saleh s’est réfugié en » (lire la suite ici)