Effectivement, on s’en souviendra du 19 janvier : jamais vu autant de gardiens de l’ordre (de force de la paix ?) à Poitiers. Un déploiement policier sans commune mesure avec la tranquillité affichée de ces manifestant.e.s. Pas autant de policiers que de manifestant.e.s (!) mais, des accès à la place d’armes, en passant par la préfecture, la gare, la porte de Paris, le haut de la rue de Montbernage, l’entrée sur la pénétrante et comme « bouquet final » le pont neuf, on a été gâté…
Heureusement que le ridicule ne tue pas, il aurait fait des dégâts ce samedi de janvier.
Au final, les yeux rougis d’un certain nombre de manifestants auront peut-être fait des heureux du côté de l’ordre.
D. Leblanc