C’est à l’appel de tous les syndicats des trois Fonction publique (État, hospitalière, territoriale) que la mobilisation avait été appelée contre le projet de loi de « transformation de la Fonction publique »
Entre 1800 et 200 personnes sans doute à Poitiers se sont lancées depuis la Porte de Paris
Puis le cortège est remonté par la pénétrante
En passant devant La Poste privatisée par les gouvernements de droite et de « gauche », on a eu une pensée pour un avenir fait de privatisation pour les usagers, de burn-out et de suicide pour les salarié-es
![](https://i0.wp.com/web86.info/wp-content/uploads/2019/05/2019mai09manif-fonction-publique21.jpg?resize=640%2C480&ssl=1)
Avant d’arriver à la préfecture
Le rapport de force ne fait que commencer. Avec Macron-répression c’est la matraque contre les mouvements sociaux Et le modèle France Telecom pour les fonctionnaires.
Mais c’est clair
![](https://i0.wp.com/web86.info/wp-content/uploads/2019/05/2019mai09manif-fonction-publique23.jpg?resize=640%2C480&ssl=1)
Mais aussi
La bataille ne fait que commencer.
Quelques Gilets jaunes étaient présent-es et, pour une fois, n’ont pas eu à supporter une répression policière commandée par l’État Macron. Ordres était données de ne pas charger les organisations syndicales, contrairement à ce qu’il s’est passé lors du 1er mai à Paris.
![](https://i0.wp.com/web86.info/wp-content/uploads/2019/05/2019mai09manif-fonction-publique30.jpg?resize=640%2C480&ssl=1)
Mais, comme le chantent les Gilets jaunes, repris par Solidaires, « on est là, ça vous plaît peut-être pas mais on est là ! »
Le rapport de force n’est pas encore à la hauteur contre un gouvernement qui ne comprend que cela mais.
L’intersyndicale doit se voir rapidement.
La FSU organise une manifestation à Paris contre la loi Blanquer le 18 mai.
Le SNES-FSU (première organisation chez les enseignant-es du public) organise une consultation pour faire une grève le premier jour du bac et du brevet.
Ce n’est qu’un début, continuons le combat !
PC
(Photos : PC et Suzie)
La vidéo de la NR avec un interview de Magali Espinasse du SNES-FSU