« Pour un raz de marée social le 26 mai

Le clan Macron est décidé à pousser jusqu’au bout la logique capitaliste :

– favoriser le Medef et les puissances d’argent qui les ont portés au pouvoir

– aggraver l’asservissement de tous les autres

– abolir l’autonomie et l’esprit critique parfois jusqu’à l’abrutissement (temps contraint)

– réprimer : violences policières face aux lanceurs et lanceuses d’alerte, militarisme

– passer le Bien Commun au bulldozer.

ET SI notre Résistance s’organisait en partant non pas tant des catégories, corporations ou partis mais justement de la défense de ce Bien Commun ?

Tous les services publics – eau, énergie, forêt, enseignement, information, santé, transports, – sous couvert de rationalisation, subissent de plus en plus l’influence des intérêts privés.

Ce qui doit rester un service, une réponse aux besoins collectifs, se dégrade en recherche de « rentabilité. » Partout le stress augmente, les dysfonctionnements et les tarifs aussi. Eau polluée, pesticides, OGM, effluents et déchets radioactifs, tout est en place pour le danger maximal. Ils savent que ça va péter et ils S’EN FOUTENT !

Unissons-nous pour définir la société dans laquelle nous voulons vivre.

Le but, c’est que les décisions soit prises par ceux qui sont concernés. C’est à nous de nous organiser pour définir nos besoins et la façon la plus sobre de les satisfaire. C’est déjà un slogan :

TOUT EST A NOUS (bis), RIEN N’EST A EUX (bis), TOUT CE QU’ILS ONT, ILS L’ONT VOLÉ, ils l’ont volé.

Comment voulons-nous vivre et quels sont nos besoins,

c’est à nous de décider, de DÉCIDER !…  »

Françoise Chanial pour Les Amis de la Terre-Poitou

Rédaction

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Article suivant

Livre paru "la Ligue des Droits de l'Homme de Châtellerault"

lun Mai 21 , 2018
Par Philippe Pineau et Daniel Trillon. Préface du président national de la LDH, Malik Salemkour
//

Articles en relation