En décembre 2018, j’apprends par un article de presse qu’une jeune Nigériane victime de la traite, Mercy Okoti, a été mise en centre de rétention à Toulouse. Aussitôt, une pétition est mise en ligne, et 6000 personnes la signent pour que la jeune femme soit relâchée !
Depuis lors, nous demandons une prise en charge urgente pour toutes ces jeunes femmes, dont le réseau a été démantelé et condamné à Poitiers. Depuis lors, pourtant, rien n’est fait ! Sans prise en charge, elles sont laissées à elles-mêmes !
Si au 10 mai, aucune solution pour leur assurer un toit et des moyens de survie, j’entamerai une grève de la faim devant leur préfecture pour protester contre le manque de volonté publique