« Ce communiqué entend répondre à l’article de la presse locale « Vienne : pourquoi peut-on arroser ses champs en plein soleil ? » du 7 août 2019 inspiré par Jean-Louis DURAND, chercheur bio climatologue de l’INRA, docteur directeur de recherche, dont personne ne remet en cause la compétence et le sérieux.

A lire son avis, il ressort que :

  • Seulement 3 % de l’eau s’évapore à la sortie du canon à eau,
  • 7 % est « évapotranspiré » par la plante,
  • Il vaut mieux irriguer de jour que de nuit…

En conséquence, sous forte chaleur et en plein midi, la plante évapore davantage : elle transpire plus (pour se maintenir en température et « maintenir la pression hydraulique et l’assimilation du gaz carbonique »). Si on n’arrose pas, la plante ira chercher l’eau dans le sol ou flétrira si le stock d’eau facilement utilisable n’y est pas suffisant.

L’article n’évoque pas, et c’est une faille, le fait que des plantes ont des besoins en eau moins élevés que le maïs ! Il est donc, aujourd’hui avec le changement climatique qui se produit, nécessaire et urgent de choisir des cultures soit bien moins exigeantes en eau, soit aussi exigeantes mais avec une valeur ajoutée nettement supérieure au maïs qui, pour couronner le tout est exporté à faible prix (au cours mondial). »

POINTS DE VUE CITOYENS et Philippe Lenoir ingénieur agronome. »

Rédaction

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